La sieste [PV: les élèves de 3ème]

Ce matin là, Hazuki s'était levée de très bonne humeur, elle avait sautée de son lit d'un bon, enfiler son uniforme et avait prit son sac pour se rendre en classe, ce pendant elle avait oublier un détail, un détail qui allait bouleverser son humeur: aujourd'hui c'était cours de mathématiques, c'était partit pour deux heures d'enfer. Elle entra das la salle avec un regard vide et montrant bien que cela l’énervait. Elle alla s'asseoir à la place type du rêveur: au fond de la salle, juste à coté de la fenêtre, et également du radiateur, dont la chaleur l'aider à piquer un somme quand le cours l'ennuyait trop. Hazuki avait une vue d'ensemble sur les autres élèves, le professeur entra, toujours le même laideron à lunette qui devait fêter ses 3 000 ans aujourd'hui. Les cheveux du professeur étaient gris clair et ses yeux étaient cachés par d'épais verres de la taille de deux sous-tasses, géométriquement, 5 centimètres de rayon, avait assuré Hazuki quand elle l'avait vu pour la première fois. Hazuki sortit ses clics et ses clacs, crayons, cahiers, livre, etc... Elle s'assura que le professeur de la regardait pas et commença à dessiner, elle dessinait With, l'adorable lapin qui se trouvait en se moment même dans son sac. Mais vite le professeur se rendit compte qu'elle ne suivait pas, il s'approcha d'elle par derrière et prit son cahier, il avait encore des réflexes le papi! Hazuki le regarda déchirer le visage crayonné du lapin. Elle posa sa tête sur ses mains et commença à s'endormir doucement.

C'était une matinée normale de la vie de Yuusuke Kutsuki, un autre amas d'heures qui se disputaient la place de première, une autre demi journée pleine d'ennuie, l'academie de l'arc-en-ciel n'était pour lui qu'une source d'ennuis supplmentaire. Yuusuke aurait aimé ce promener dans les couloirs toute la journée, quand il s'était levé son camarade de chambre, un dénommé Daisuke Hitsugaya, élève de seconde, était déjà parti en classe. Yuusuke s'était préparé et avait rejoins le cours de mathématique, quelle horreur! Pas encore! I y en avait tout les jours!! Yuusuke s'assit au dernier rang, juste à coté d'Hazuki, vite, il s'ennuya, il commenca à jouer un rythme endiablé en tapant du doigt sur sa table. Quand il remarqua que sa voisine de table, que le professeur avait appellé tout à l'heure mademoiselle Hitsugaya, était en chemin pour le pays des songes, il tapa trois bons coups sur son cahier, la secoua un peu et lanca avec un petit air pervers:
"La belle au bois dormant.... Exigerais tu un baiser de ton prince charmant?"
Et oui, c'est lui même qu'il visait pas l'intitulation "prince charmant", il avait une haute estime de lui même, de plus elle était vraiment mignonne cette jeune fille.

Le soucis avec Hazuki, c'est qu'en général, quand on la réveille de force, elle est à cran! Hazuki venait de sortir de son état de rêveuse, elle état bel et bien réveillée, elle avait bien entendu la fin de la phrase qu'avait prononcer son voisin de table: un baiser de son prince charmant? Mais quesqu'il raconte ce fou complètement pervers?!! a première question que se posa Hazuki fut la suivante: Pourquoi il me regarde comme ça ce débile!!?! Hazuki regardait son voisin avec des yeux aussi gros que les lunettes de son professeur de mathématiques. Elle lui lança un stylo à bille rouge entre les deux yeux, elle était très douée pour cela, elle cacha son visage avec sa main droite et dit:
"Dans tes rêves obsédé!"
Hazuki avait légèrement rougit, cette remarque aurait gêné n'importe quelle fille. Elle n'était pas du genre à dénoncer au professeur, la jeune fille regarda son missile qui avait rebondit sur son prétendu adversaire, le projectile roulait à ses pieds, Hazuki se leva de sa chaise et se baissa, à quatre pâtes par terre elle se tendit le bras pour attraper son stylo. Il tendit le bras et fini par parvenir à le ramasser.

Yuusuke regarda la jeune fille partir à la recherche de son stylo. Ce stylo qu'elle lui avait lancé au visage, cette fille était également très jolie sous cet angle, le nouvel angle sous lequelle Yuusuke la voyait. Le jeune garçon cherchait mesquinement à se l'approprier, d'aprs son nom, elle était de la famille de son camarde de chambre, elle lui ressemblait un peu c'est vrai; peu importe, en fait Yuusuke était prêt à draguer n'importe quelle fille, de sa tranche d'âge ou pas mais il ne s'en sortait pas avec les filles qui avait du caractère, du moins la plupart du temps. D'ailleurs cette fille, elle, elle avait l'air d'avoir un sacré caractère de cochon! Mais elle lui plaisait, cela le changerait des dizaines de cruches avec lesquelles il était sortit. Yuusuke reussit à mettre la main lui aussi sur le stylo perdu, il frola la main de sa voisine de table, il s'empara du stylo, attendant qu'elle se relève pour lui rendre, ou pas, Yuusuke ne connaissait pas encore la fin de son plan mais il été persuadé qu'il l'aurait embrassé avant le coucher du soleil.

Hazuki avait déjà un très mauvais opinion sur ce jeune garçon, il ne lui semblait pas être le genre de garçons auxquels on peut faire confiance, comme Daisuke par exemple. Hazuki le regardait avec un regard assassin, cet air non plus n'inspirait pas confiance. Si les yeux de notre jeune collégienne avaient été des mitraillettes, le receveur de ce regard serait mort, et ce receveur, c'était l'abruti qui se tenait en face d'elle. Hazuki s’assura que le professeur ne la regardait pas, puis elle profita d'être encore accroupie par terre et donna un bon coup de pied dans l'assise de la chaise sur laquelle son dit adversaire était assis (un coup physiquement impossible mais Hazuki est surhumaine). La collégienne ne remarqua pas qu'elle avait, l'espace d'une seconde,laissée entrevoir sa petite culotte, car Hazuki n'avait pas l'habitude de faire ce genre de chose vêtue de la sorte. Puis elle se releva et lança:
"Rend moi ce stylo tout de suite ou le prochain c'est dans ta figure!"
Elle tendit la main avait toujours ce même regard assassin sur le visage.

Durant une fraction de seconde, Yuusuke avait ue un apperçu du paradis, de la dentelle, et rose en plus! Cette fille n'était pas celle qu'on pensait, cela pouvai se lire sur son visage, et surtout sur sa petite culotte... Yuusuke tenait maintenant la fin de son plan, il laissa echapper un tout petit:
"Jolie dentelle princesse..."
Puis il tendit le stylo à sa propriétaire, évitant le coup de pied, même si il lui permettrais de revoir le paradis, tout en remontant l'estime que sa voisine de table avait de lui. Yuusuke regarda le capuchon du stylo, rouge comme la chevelure de cette magnifique jeune fille qui se tenait devant lui, son regard assassin la rendait encore plus mignonne sans même qu'elle s'en rende vraiment compte! Le bras tendu devant lui, le stylo déposé delicatement sur la paume de sa main, notre donjuan regional souriait, sachant que la belle rousse le recupèrerait brusquement en lui arrachant des mains, et qu'il pourrait alors l'approcher sous un visage différent, liu demandant un remerciement et soulignant son impolitesse, il était sur que cela marcherait! Et sinon il y aurait encre une atre solution possible, mais le baiser qu'il attendait, il l'aurait, il se l'était promis, si il ne reussissait pas à prendre un baiser à cette jolie princesse avant le coucher du soleil, il s'en voudrait à jamais.
"Ce n'est pas comme si je comptait te le prendre, j'ai juste pensé que ce serait plus pratique." Dit Yuusuke qui ne faisait que repondre à la menace de sa voisine.

Hazuki soupira, si ce garçon croyait que cela allait l'aider à se racheter une image à ses yeux il se mettait le doigt dans l'oeil et jusqu'au coude! Si il y avait une chose qui pouvait irriter Hazuki au point d'elle en vienne au main c'était bien que l'on tente de se racheter de la sorte et de montrer une seconde personne en soit même, on apparaît comme on apparaît, on ne change pas e la sorte, ce n'est pas si facile, elle en avait tellement fait l’expérience elle même. Que l'on traite se personnalité de la sorte l'ennervait terriblement. On est comme on est et on ne change pas comme ça à la seconde en un claquement de doigt, en un coup de baguette magique! Hazuki arracha le stylo de la main de son voisin, elle ne lâcha pas un seul remerciement et retourna s'asseoir sur sa chaise. La elle fit tourner son stylo autour de son doigt, c'est Daisuke qui lui avait appris cela, lui aussi le faisait quand il s'ennuyait ou qu'il ne savait pas quoi dessiner. Hazuki avait un regard vide, elle étai pensive, elle tentait de se calmer en se remémorant de doux souvenirs, comme toutes les journées qu'elle passait avec Daisuke en ville, quand elle jouait avec Naoki ou avec With, quand elle se promenait seule à vélo dans le foret à la sortie de la ville ou derrière l'académie. Tout ces souvenirs lui donnait chaud au coeur, elle réussit peu à peu à se calmer.

Yuusuke avait reussit à appliquer la première phase de son plan, tout ce passait comme il le voulait. Le jeune garçon fit la grimace, c'était encore une partie de son plan, la deuxième phase consistait à faire semblant de faire semblant de ne pas s'interesser à sa voisine tout en montrant discrètement mais visiblement son affection, son amour pour elle. Il tirait une telle tête, qui inscrivait sur son visage un profond dégoût. Yuusuke ajouta alors à cette tête, à ce regard, une replique blessante, du moins pour toutes les filles qu'il avait draguer au par avant, pour tote les pimbèches cela aurait été désagréable, mais il savait que cela le serait moins pour elle; c'est pour cette raison et tant d'autres que cette fille l'interessait. Il dit:
"Ah bah! Même pas merci! C'est dire! je pensais pas qu'une fille qui était déjà plus qu'ordinaire et qui ne saches pas mettre sa beauté en valeur ne saches pas non plus ce que c'est que la politesse! J'y refflechirait à deux fois avant de te rendre un service la prochaine fois!"
Après cela il tourna la tête. Il regardait du coin de l'oeil sur la table de sa voisine, mais son regard fut attiré par le sac de cette dernière qui remuait, un petit cri se fit entendre, precisement celui d'un lapin. Yuusuke se souvint, son camarade de chambre, Daisuke Hitsugaya, avait dit la semaine passé qu'il confierait son animal de compagnie à sa soeur lundi; et sa soeur c'était bien cette Hazuki! Yuusuke pensa immédiatement qu'elle l'avait emmené en classe pour qu'il ne soit pas seul. Mais le professeur avait lui aussi entendu le cri et se leva de sa chaise. Il s'approcha et demanda:
"Je peux voir votre sac mademoiselle Hitsugaya?!"
Une idée vint à Yuusuke, si il était puni à la place de cette fille, elle penserait immédiatement qu'il avait bon find au final. Il devait faire vite, il se saisit du cartable d'Hazuki alors que le professeur fixait le demoiselle, il atrappa l'animal et le cacha dans le casier sous sa table, après cela il reposa le cartable. Le proffesseur ue beau fouillé, il n'y trouva rien, il demanda alors:
"Et le votre monsieur Kutsuki?!"
Il sourit, de toute matirèe il l'avait caché dans le casier, quel idiot ce porfesseur, il ne trouva dans le sac à dos de Yuu' qu'un paquet de bonbon entamé, une bouteille d'eau et des livres et cahiers parfaitement bien entretenus. Le proffesser ne verifia pas les casier et parti, le batteur au grand coeur deposa dans le casier quelques fraises tagada dont le lapin rafollait, il le savait. il observa la reaction de sa voisine.

Hazuki fut immédiatement toute paniquée, où With avait il encore pu filer? Elle était sûre que le lapin se trouvait encore dans son sac à son entrée dans la salle de mathématique. Était il sorti? Il ne s'enfuyait jamais quand il n'était pas menacé, et quand bien même il aurait filé, où serait il allé?! Hazuki fit des yeux le tour de la salle, rien! Soudain, elle se tourna vers son voisin qui n’arrêtait pas de regarder sous sa table, et d'y mettre des objet, le dernier en date était un morceau de bois, mais que faisait il? C'est la question qu'Hazuki se posait et même avait elle chuchoté:
"Mais quesqu'il fabrique cet idiot?"
Hazuki observa la montre à son poignet, c'était un cadeau de son grand-père qu'elle avait reçu pour son anniversaire. L'élève modèle constata que la cloche allait bientôt sonner, quelques minutes la séparait encore de sa liberté, mais ce n'était pas gagné avec With qui traînait on ne sait où, sûrement était il encore au jardin en train de voler les fraises que faisait pousser les élèves du club des petit jardinier. Le professeur finit enfin par lancer la phrase qui tue tout en offrant un peu d'espoir:
"Bien, sortez vos agenda..."
Il nota sur le tableau une foule d'exercices tous plus complexes les uns que les autres, exercices que personne n'imaginait voir Hazuki faire. Après avoir donné un si grand désespoir à ses élèves, le grand homme conclu par une phrase qui avait l'effet d'une résurrection:
"Rangez vos affaires, nous nous arrêterons là pour aujourd'hui."
Hazuki rangea ses affaires, le dos tourné à son voisin et sortit de la salle la première, se précipitant vers la cour dans le seul et unique but de retrouver With.